Douraka a réussi à se faire intégrer au sein du front de libération des hérétiques après avoir brûlé le livre qu’ils recherchaient. En effet, la jeune fille est la seule à avoir lu entièrement le livre, et elle est donc la seule capable d’en restituer le contenu afin qu’il soit imprimé.
Quand le groupe arrive dans la maison isolée au milieu d’une plaine, Douraka va faire la connaissance de la cheffe du mouvement, qui n’est autre que Jolenta, la fille d’un ancien inquisiteur. Jolenta explique alors à Douraka que, pour elle, si les hommes naissent, c’est pour se rapprocher du bien, et que le bien et le mal sont indiscutablement liés.
Quand les inquisiteurs, prévenus par un traitre, arrivent, Douraka prend la décision de sauver le livre à tout prix et s’enfuit avec le matériel qui va permettre de l'imprimer.
Un tome qui fait la part belle à des pensées philosophiques et qui nous montre que la religion, la philosophie et l’envie d’évoluer sont intimement liés. La relation qui se tisse entre Douraka et Jolenta a beau être teinté de méfiance, elle n’en est pas moins profonde en très peu de temps, et Jolenta arrive à transmettre sa passion pour la vérité à Douraka.
Les rebondissements et les trahisons vont bon train dans cet avant dernier tome et j’ai hâte de découvrir la fin de l’histoire et voir le triomphe de la pensée héliocentriste.