C’est bientôt la fête du sport de l’école. C’est un événement assez particulier puisque, durant cette fête, des recruteurs venus de tout le pays viennent assister aux épreuves afin de proposer un emploi aux futurs potentiels dieux. Potentiel car certains ne le deviendront jamais, faute de don assez développé pour en faire leur métier.
Nagi, elle, ne participe pas aux épreuves, son don ne s’étant toujours pas manifesté, malgré les efforts de Tsukuyomi pour tenter de les déclencher. La jeune fille apporte donc son aide en coulisse, aide d’autres classes à apprendre le kagura, une danse traditionnelle où la jeune fille excelle.
Juste avant la fête du sport, Oruha, une élève d’une autre classe, demande à Nagi d’intercéder en sa faveur auprès de son maitre pour bénéficier de son enseignement. Nagi ne sait pas quoi répondre, étant donné que l’identité de son maître doit rester la plus cachée possible. Elle apprend alors que Oruha est l’une des élèves les plus prometteuses de l’école, et qu’elle est prête à tout pour obtenir ce qu’elle veut.
Ce n’est pas encore dans ce tome qu’on découvre les pouvoir de Nagi, mais on voit la jeune fille évoluer au sein de différents groupes et être appréciée de quasiment tout le monde, y compris Tota qui est très souvent dans les parages de Nagi…
Quant aux épreuves de sport, elles sont bien différentes des épreuves habituelles car elles doivent être adaptées pour les différentes capacités des élèves, afin de démontrer leur puissance et leur habileté. J’ai trouvé ce passage très sympa, avec ce qu’il fallait de tension, tout comme une réelle épreuve.
Un nouveau dieu fait son apparition, et pour l’instant on sait peu de choses à son sujet à part qu’il passait beaucoup de temps à travailler pour s’améliorer, qu’il aime se mettre en avant et qu’il aime la pizza à l’ananas.
Le volume se termine sur un cliffhanger et donne très envie de lire la suite des aventures de Nagi.