Doga et Yorte sont coincés dans le désert à la suite de l’avarie subie par l’aéronef qu’ils ont emprunté pour voyager. Cette traversée n’est pas sans danger. Entre les mauvaises rencontres possibles et les animaux tapis sous le sable, personne n’est à l’abri et surtout pas le duo mal assorti. Après avoir rencontré un homme qui se fait passer pour un marchand, ils sont attaqués par un monstre énorme surgi du sable qui va les poursuivre jusqu’au providentiel village qu’ils atteignent in extrémis.
Les villageois en profitent pour tuer la bête et demandent à Doga et Yorte un coup de main afin de la dépecer avant le retour du seigneur du village. En effet, ils aimeraient échapper à la taxe imposée et cacher leur butin qui va leur permettre de se nourrir pendant quelques semaines. Doga accepte et, très vite, provoque l’admiration des villageois grâce à la force qu’elle déploie et la vitesse à laquelle elle dépèce la bête.
Mais le seigneur de la région arrive avec de l’avance, provoquant un branle-bas dans tout le village.
Dans ce tome, Doga montre à nouveau d’étranges aptitudes. Une force surhumaine, un appétit féroce et, d’après elle, elle n’aurait pas de cycle menstruel puisqu’elle refuse les protections hygiéniques que lui offre une villageoise. Ce qui m’interroge beaucoup. Qu’est-elle au juste ? Et quelles sont ses limites ?
Yorte quant à lui montre qu’il n’est pas apte à se débrouiller seul. Son corps a besoin de beaucoup de carburant et il le maîtrise encore très mal, même si celui-ci se révèle plutôt solide quand il le faut.
Leur voyage se poursuit et promet de ne pas être une partie de plaisir, j’ai hâte de découvrir ce qu’il va se passer lors des prochaines étapes.