Mao Mao a réussi, grâce au flair d’un chien de chasse, à retrouver la cache des tireurs qui s’en sont pris à Jinshi et le complot semble avoir été déjoué. Jinshi, pour remercier Mao Mao, lui offre des bézoars, et la jeune fille est tellement contente qu’elle ne laisse pas l’eunuque lui dévoiler le secret dont il voulait lui parler.
Plus tard, à la cour, Shaolan demande à Mao Mao si elle n’aurait pas quelque chose à lui conseiller pour trouver un emploi, car son contrat se termine dans quelques mois et elle va se retrouver à la rue, étant donné que ses parents l’ont vendue à la cour et qu’elle ne peut pas retourner chez eux. C’est alors que Shisui intervient et fait découvrir aux deux filles une activité à laquelle elles n’auraient pas songé : le massage des concubines.
Elles se rendent désormais tous les deux jours aux bains, afin de masser les concubines de rang inférieur, collectant ainsi les ragots et les cadeaux de celles-ci, et permettant à Shaolan de se faire un début de réseau, ce qui pourrait l’aider dans sa recherche d’emploi futur.
Un peu plus tard, Mao Mao doit intervenir à la recherche d’un fantôme…
Enfin dans ce tome on a la confirmation de la véritable nature de Jinshi, même si on ne sait toujours pas qui il est vraiment au sein de la cour. Ce qui est amusant, c’est que cela indiffère totalement Mao Mao qui continue de le traiter comme d’habitude, se méfiant toujours de ses idées, mais le comprenant de mieux en mieux au fil du temps.
Shaolan est toujours aussi attachante, tout comme Lishu, la très jeune concubine, qui ne semble toujours pas à sa place à la cour. Comme d’habitude, Mao Mao va faire preuve d’inventivité pour se sortir de quelques situations délicates et son esprit d’analyse ainsi que ses talents d’observation vont lui être précieux tout au long de ce tome.
A noter qu’il existe une version collector de ce tome !