Pour la préparation de la fête de l’école, Rita et ses acolytes se sont rendus dans le quartier d’Asakusa, afin de trouver les accessoires demandés par Erina, la directrice de la maternelle. Ce qu’ils n’avaient pas prévu, c’est que Lyla, la fillette arrivée depuis peu à la maternelle, s'est glissée en cachette dans le bus avec eux. Ils vont donc devoir redoubler de vigilance afin de la protéger tout en réalisant leur mission sans se faire repérer.
Chose évidemment impossible, vous vous en doutez, et très rapidement la petite équipe se retrouve sous le feu croisé d’un duo fraternel qui partage son temps entre un magasin de poissons rouges et les missions d’assassinat. Et l’affrontement est loin d’être gagné, Rita se retrouve en mauvaise posture, sans munition, face au duo.
Comme pour les quatre précédents volumes, l’action est au rendez-vous. Après avoir découvert que Rita avait un frère jumeau presque aussi efficace qu’elle, on fait la connaissance d’un autre duo pas piqué des hannetons qui sera l’arc de ce tome. Et c’est littéralement dans un feu d’artifice d’explosions et de coups de feu que Rita, Doug et Hana doivent faire face à ces combattants peu ordinaires. En effet, Natsuki, l’aîné, utilise des épuisettes en papier pour attaquer et se défendre, ce qui est loin d’être commun, tandis que le cadet utilise des feux d’artifice explosifs pour éliminer ses adversaires.
Rita est fidèle à elle-même, même si dans ce tome elle n’est toujours pas plus avancée dans sa quête du beau gosse avec qui sortir. Bien qu’il se soit passé quelque chose avec Doug dans le tome précédent, elle estime que ça ne compte pas et espère toujours trouver le beau gosse avec qui sortir.
C’est ce mélange de genre entre ultra violence décalée et recherche de l’amour qui fait tout le charme de cette série que j’aime toujours autant. Hâte de lire la suite pour savoir ce qu’il va se passer avec la meute de caniches.
