Revenu du palais impérial, Firentia se concentre sur l'entrée à l'académie d'Astiria, l'apprentie doctoresse. La jeune fille cherche à faire faire une lettre de recommandation à son grand-père, en essayant de le convaincre avec un remède crée par Astiria. Pendant ce temps, Clériban, le professeur de Firentia, teste la petite fille pour voir si elle est surdouée et s'il faut s'en rapprocher. Firentia se crée donc de plus en plus de contacts. Son grand-père commence à franchement s'intéresser à elle…
L'histoire est toujours aussi bien. On se demande tout le temps qu'est-ce que va faire Firentia ensuite. Les personnages ont toujours chacun un caractère unique. On découvre d'ailleurs plus d'informations sur certains personnages, comme le mari de Shananette (la tante de Firentia) ou le docteur en charge de l'apprentissage d'Astiria.
Les dessins sont très beaux. Ils sont détaillés et colorés. Les décors sont très chouettes : ils mettent en valeur les personnages. Les couleurs ne sont pas particulièrement vives, mais elles ne sont pas ternes pour autant : elles s'accordent bien avec les personnages, tout en formant quelque chose de raffiné crée à partir de couleurs simples. La couverture est très belle (comme d'habitude), mais je ne m'attendais pas à ce que Clériban soit le personnage représenté : je m'attendais plutôt à un membre de la famille Lombardie ou à Astiria.
C'est un très bon tome trois. Vivement la suite !
