Depuis leur sortie du bunker où elles étaient réfugiées, Yoko et Airi parcourent le Japon avec enthousiasme. Dans ce tome, elles s’arrêtent sur un site de fouille de fossiles préhistoriques, tentent de pêcher un énorme et étrange animal dans l’un des plus grands lacs du Japon puis décident de faire un détour par Nagaoka où se tenait, avant l’apocalypse, le plus grand festival de feux d’artifice du pays.
C’est toujours un plaisir de suivre les filles dans leurs aventures. Débrouillardes et intelligentes, elles trouvent toujours une solution — plus ou moins orthodoxe — pour atteindre leurs objectifs. Que ce soit pour la pêche où Airi dégote un lance harpon pour essayer d’attraper l’énorme bête qui hante le lac ou de simples feux de Bengale pour recréer un festival de feux d’artifice.
Entre action et contemplation, ce volume est bourré d’humour et de tendresse.
J’aime toujours autant cette série, surtout que quelques questions sont soulevées au fil de leurs découvertes : quel âge à vraiment Yoko ? Où est sa sœur ? Et surtout, quelle est l’origine du bruit qu’elles entendent au-dessus de Nagaoka pendant qu’elles tentent de tirer des feux d’artifice ?