Doga et Yote poursuivent leur voyage dans le désert plein de dangers. Yote continue de découvrir le monde et a parfois du mal avec des choses très basiques comme la solidité de ses vêtements face aux épines des plantes du désert.
Plusieurs agents à la solde du frère de Yote sont à leurs trousses et prêts à tout pour remplir leur mission. Tromper, mentir et même se débarrasser de personnes qui seraient plus ou moins gênantes pour eux.
Doga découvre que, dans certaines régions, sa tenue est complétement inappropriée et elle doit se plier aux coutumes locales et revêtir des vêtements amples et qui la couvrent complètement, y compris une bonne partie du visage. Autant dire que la jeune fille déteste ça, car elle trouve ces vêtements peu pratiques !
Le voyage de Doga et Yote est donc toujours mouvementé, mais ils ne savent toujours pas si les sirènes ont vraiment le pouvoir de ressusciter Yote (dont le « corps d’emprunt » a toujours une date limite d’utilisation). Malgré leurs recherches, personne ne peut affirmer que les sirènes ont des pouvoirs magiques, mais tout ceux qu’ils rencontrent sont unanimes : elles n’ont jamais aidé un humain et prennent plaisir à les massacrer.
La dernière partie de ce tome ouvre de nouveaux questionnements sur qui est réellement Doga, car il lui arrive quelque chose que je ne peux pas dévoiler mais qu’elle surmonte sans problème apparent. Je me demande donc qui est réellement cette jeune fille et pourquoi sa mémoire semble un peu erratique ?
Bref, comme pour les deux précédents tomes, j’ai pris plaisir à suivre les aventures de Doga et Yote et j’espère en découvrir plus prochainement !
