Alexia vient tout juste de se réveiller d’un sommeil cryogénique qui a duré presque soixante-dix ans. Plongée en stase prolongée dans l’attente d’un remède pour la maladie qui la rongeait, elle se réveille dans un monde qui a complétement changé.
Adieu la vie au grand air, bonjour à la vie sous dômes où tout est contrôlé pour empêcher un virus mortel de pénétrer et décimer les quelques humains encore en vie. Alexia va très vite faire la connaissance de l’infirmière qui a pris soin d’elle, ainsi que du fils du docteur à la tête du dôme médical : Gus. Très vite les deux jeunes gens vont se rapprocher, d’autant plus qu’Alexia cherche à comprendre pourquoi elle a été réveillée, et quel est le message que sa mère adoptive a tenté de lui transmettre au travers des carnets cachés dans un des meubles de l’appartement qui lui était destiné ?
Je dois avouer que je n’ai pas été emballée par ma lecture. Outre les aspects « techniques » qui m’ont perturbée comme la mise en page, ou encore les noms de famille en majuscules, l’écriture en elle-même ne m’a pas embarquée, tout comme l’histoire.
Globalement, les personnages sont beaucoup trop lisses et Alexia trop intelligente et l’intrigue manque de profondeur et de vrais rebondissements. Certes, il se passe des choses, mais c’est un poil trop linéaire à mon goût, il manque un petit truc pour que l’histoire prenne de l’ampleur et devienne vraiment intéressante. C’est dommage, car cela a considérablement ralenti ma lecture et j’ai eu du mal à terminer ce roman.
Cependant, les thématiques abordées sont intéressantes et il est amusant de constater que l’autrice a pris le parti d’imaginer un virus planétaire qui décime la population à peine un an avant l’épidémie de COVID qui a touché toute la planète.
