Cleo est un jeune mercenaire qui a besoin d’argent afin de se retirer dans sa petite maison au fin fond de la campagne et y mener une vie tranquille. Hélas, la dernière mission qu’il accepte ne se passe pas du tout comme prévu et sans l’aide de Kohaku, une semi-humaine surpuissante, il serait mort. Toujours est-il qu’il se réveille, guéri, une bonne centaine d’années après le combat, dans un monde en proie au chaos.
Kohaku lui explique que l’homme qu’ils ont combattu autrefois possédait une arme magique qui lui conférait des pouvoirs immenses : une differlame. Et que la guerre qui sévit actuellement est en partie due à ceux qui veulent conquérir des territoires grâce à des differlames. Les humains « normaux » ne peuvent donc pas espérer gagner contre ces artefacts beaucoup trop puissants, à moins d’en posséder un eux-mêmes. Hélas, la lame que Kohaku a récupérée sur le malandrin n’est pas adaptée à Cleo, au grand désespoir de celui-ci.
Ils doivent à nouveau fuir et finissent par tomber sur un château abandonné, mais pas trop en ruine. Ils décident de s’y installer et d’ouvrir une auberge dans les environs. Dans un pays où l’eau et la nourriture sont des denrées précieuses, nul doute qu’une auberge leur permettra de bien gagner leur vie !
J’ai beaucoup aimé ce premier tome, autant par son scénario et ses personnages que par son dessin. Les personnages principaux sont attachants chacun à leur manière, et j’aime beaucoup la dynamique de leur duo improvisé. Kohaku a un côté très mignon mais sage à la fois, ainsi qu’une puissance magique assez considérable, il faut l’avouer. Cleo fait un peu grand benêt un peu couard, mais il s’attache assez vite à la semi-humaine. Il faut dire qu’il lui doit la vie !
Les scènes de combats sont très graphiques et dynamiques, et elles ne courent pas sur des pages et des pages, ce que j’aime beaucoup !
Pour l’instant, l’histoire se met en place doucement et j’avoue que j’ai hâte de découvrir la suite, avec l’arrivée de nouveaux personnages.
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